Je voudrait vous faire patagé 'une de mes passion la philosophie, qui peux aidez n'importe qui dans sa vie.
Voila une genre de philosophie intérprétez par des citation :
Albers enstien : Il y a 2 chose infiniment grand, l'univers et la bétise humaine en se qui concerne l'univers je n'en suis pas totalement sur.
Inconu : Quand on vois un objet dans une boutique on le regarde avec soin, mais quand ton croise quel qun dans la rue on le juge sur son aparence.
Albers enstien : Nous aurons le destin que nous aurons mérité.
Inconu : Quand tu penses que le monde te tourne le dos, regarde bien: c'est surtout toi qui tourne le dos au monde. ( C'est à dire, que les apparence son parfois trompeuse)
Xemnas : Les éleve ressemble a leur profésseur ses le but d'un aprentisage non ?
Voltaire : Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères.
Henry Miller : Quand la merde vaudra de l'or, le cul des pauvres ne leur appartiendra plus.
Henri de La Rochejaquelein. : Si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi."
Confucius : "L'homme sage apprend de ses erreurs,
L'homme plus sage apprend des erreurs des autres."
"Le sage ne dit pas ce qu'il sait, le sot ne sait pas ce qu'il dit."
De la philosophie en forme d'histoire courte ou petit paragraphe :
Si tu peux marcher sur l'eau
Tu n'es pas plus habile qu'une paille
Si tu peux voler dans les airs
Tu n'es pas plus habile qu'une mouche
Conquiers ton coeur
Alors tu deviendras quelqu'un
Tu peux prouver beaucoups de chose mais a quoi cela serviré si toi meme tu ne te ne te connais pas
Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu'il était encore capable d'affronter n'importe quel adversaire.
Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d'une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l'éclair.
Ce jeune et impatient guerrier n'avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Il se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues - y compris à ses ancêtres.
Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l'impétueux guerrier se retira.
Dépités d'avoir vu le Maître accepter autant d'insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
- Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d'exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
- Si quelqu'un vous tend un cadeau et que vous ne l'acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda le samouraï.
- A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
- Cela vaut aussi pour l'envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu'elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son coeur.
L'histoir de la sagesse :
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
- Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
- Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
- Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
- Un Journaliste l'interviewa sur ses douleurs.
- Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
- Un Médecin lui lança deux comprimés d'aspirine.
- Une Infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.
- Un Thérapeute l'incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
- Une Pratiquante de la pensée positive l'exhorta : Quand on veut, on peut !
- Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
- Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d'empirer.
Puis un enfant passa, et lui tendit la main...
La sagesse n'es pas toujours que pour le vieux elle est la ou on la veux.
Le combat des loups :
Un vieil homme Cherokee apprend la vie à son petit fils.
- Un combat a lieu à l'intérieur de moi, dit-il au garçon. Un combat terrible entre deux loups. L'un est mauvais : il est colère, envie, chagrin, regret, avidité, arrogance, apitoiement sur soi-même, culpabilité, ressentiment, infériorité, mensonges, vanité, supériorité et ego. L'autre est bon : il est joie, paix, amour, espoir, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, empathie, générosité, vérité, compassion et foi. Le même combat a lieu en toi-même et à l'intérieur de tout le monde.
Le petit-fils réfléchit pendant une minute puis demanda à son grand père :
- Quel sera le loup qui vaincra ? Le vieux Cherokee répondit simplement :
- Celui que tu nourris.
A toi de choisir qui tu nourrira.
Ma préféré :
Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse.
Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit :
"Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?
- Un instant, répondit Socrate.
Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des 3 passoires.
- Les 3 passoires?
Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire.
C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires. La première passoire est celle de la vérité.
As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
- Non. J'en ai simplement entendu parler...
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté.
Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
- Ah non ! Au contraire.
- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité.
Est-il utile que je saches ce que tu es venu me racouter ?
- Non. Pas vraiment.
Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?"
Voila la philosophie et la sagesse se cache en chaqun de nous.
La philo et compliqué pour ceux qui ne veulent pas la comprendre
Merci a KingMan dans habbo, un grand philosophe.